vendredi 6 juin 2014

Ravioles, enfin!

C'est fou! C'est le bonheur absolu, la classe internationale! Les ravioles, celles du Dauphiné, celles qui sont fameuses, délicieuses, fines, douces, légères, on peut les faire, c'est même facile! Alors, pour la farce, de la faisselle, du comté râpé et du persil fondu dans le beurre, du sel. Pour la pâte, de la farine, du sel et de l'eau. Comme les convives le savent, la cantine est bien outillée, et peu étaler avec sa machine composée de deux rouleaux qu'on resserre toujours plus, la pâte si finement qu'il est sûr que les ravioles seront superbes! Ensuite, un pâte étalée sur la plaque à ravioles (ancienne plaque à ravioli rebaptisée!), et la farce saute dans un sac plastique coupé au bout, couic, couic, étranglement maison, les cases sont remplies à toute allure pendant que l'eau commence à bouillir avec un cube, et hop, deuxième pâton tout fin, un coup de rouleau, on démoule, tout ça dans une ambiance farineuse, et à l'eau bouillante fissa! La plaque cuit en une minute, la seconde prend le relais, le beurre se couche, et à table, oh le rêve! Durée de l'opération : 15 minutes!
Et en prime, le poignet souple et musclé de la cantinière!




A lundi midi!

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